Preview:Joypad, January 1998

    From Gallowpedia, the MediEvil Wiki. You'll be dying to read!
    Revision as of 13:54, 1 November 2024 by DansFriend (talk | contribs) (→‎Navigation)
    (diff) ← Older revision | Latest revision (diff) | Newer revision → (diff)
    Joypad, January 1998
    Joypad-Magazine-Issue-71.jpg
    Cover of Joypad magazine issue 71.
    Issue No. 71
    Page(s) 22-25
    Author(s) Christophe Delpierre (Chris)
    Preview Subject MediEvil
    Language French
    URL available? Yes

    A preview of MediEvil from January 1998 published in Joypad magazine issue 71.

    Transcript

    MediEvil

    Par Chris

    MediEvil est un jeu qui se fait attendre. On pensait le voir arriver en septembre 97, et puis la date de sortie à été repoussée à mars, et maintenant à juin 98. La raison de ce retard? L'utilisation du nouveau kit de développement de Sony, le Profiler ou Analyser, qui permet de mieux gérer les performances de la console et de corriger les bugs. Se languir permet souvent d'apprécier encore davantage. On attend, épuisant nos dernières ressources de patience, ce titre qui devrait faire sensation, et on vous offre en prime un CD des plus belles musiques du jeu...

    Ies lecteurs fidèles de Joypad connaissent déjà Medievil, soft concocté avec amour dans les studios de Millenium,[sic] à Cambridge, en Angleterre. Nous vous en avions parlé dans le numéro d'été. Histoire de rap peler en deux mots le scénario de ce jeu hors du commun, voici quelques éclaircissements. Vous incarnez ici un squelette, le Sir Daniel Fortesque, réveillé d'entre les morts par le méchant Zarok, sorcier aux pouvoirs surpuissants. Ce dernier a jeté un sort sur la population des environs, un sort si grand, qu'en plus d'asservir les vivants, il a réveillé les morts. Cet état de fait vous dérange, et vous partez à la chasse au sorcier au travers de trente niveaux tous moins linéaires les uns que les autres.

    Presque un jeu d'ambiance

    MediEvil se démarque de la plupart des autres productions par son humour, son style graphique et sa musique. Question atmosphère, on se retrouve devant un Ghouls' n' Ghosts, le côté plate-forme en moins, mâtiné de Nightmare before Christmas (le film d'animation de Tim Burton). Ceux qui connaissent les musiques de Danny Elfman - égérie de Burton - reconnaîtront d'ailleurs sur le CD MediEvil, au détour d'une mélodie un peu folle ou un peu triste, I'influence qu'a eu ce compositeur d'exception sur les créateurs du jeu.

    Si I'ambiance sonore est importante, graphiquement MediEvil se révèle également à la hauteur. L'univers 3D dans lequel vous évoluez est d'une richesse impressionnante, et la fluidité de vos déplacements fait honneur aux différents angles de vues, qui accompagnent toujours avec un certain sens artistique l'action. MediEvil est un jeu non-linéaire qui vous autorise à vous balader dans les moindres recoins de chaque niveau. Vous errez, combattez, découvrez... Votre balade vous amène à affronter des dangers, certes, mais elle procure un certain plaisir et se montre digne d'intéret. Vous récupérez différents objets (comme des potions ou des clés), ramassez de nouvelles armes, foulez de votre pied désincarné le relief herbeux de tertres virtuels... Une vraie vie d'aventurier, quoi.

    MediEvil en chiffres

    Les dernières infos concernant le jeu précisent qu'il y aurait 14 armes (arbalete, couteau, hache, massue...), des potions aux effets divers, 55 ennemis différents, 7 boss de fin de niveaux et 13 minutes de vidéo. Tout cela pour 30 niveaux. Plutôt pas mal, et en plus susceptible d'être amélioré. Dans le genre délirant, il semblerait qu'il soit même possible - ce n'est là qu'un exemple - de se servir du bras du héros comme d'une arme après qu'il ait été tranché. Un Mister Bones qui ne laisserait pas de restes. Bref, on attend de pouvoir partager les aventures de Sir Daniel avec impatience I'été prochain, lorsque le temps sera beau et chaud, après ces longs mois d'hiver...

    Translation

    The following translation was produced using machine translation. Therefore, it may be partially (or fully) incorrect.

    MediEvil

    By Chris

    MediEvil is a game that is long overdue. We thought we would see it arrive in September '97, and then the date of release was postponed to March, and now to June '98. The reason for these delays? The use of Sony's new development kit, the Profiler or Analyzer, which make it possible to better manage the console's performance and to fix bugs. Longing often allows us to appreciate things even more. So we wait, exhausting the last of our patience for this sensational title, and we offer you as a bonus a CD of the most beautiful music from the game...

    Loyal Joypad readers already know Medievil, software lovingly crafted in the Millenium[sic] studios in Cambridge, England. We told you about it in our summer issue. Here is a short recap to help remind you of this extraordinary game's premise: You play as a skeleton, Sir Daniel Fortesque, awakened from the dead by the wicked Zarok, a superpowered sorcerer. The latter cast a spell on the surrounding population; a spell so great that, in addition to enslaving the living, it awakened the dead. This state of affairs disturbs you, and you go on a sorcerer's hunt through thirty levels, each less linear than the other.

    Almost a party game

    MediEvil stands out from most other productions with its humor, art style and music. In terms of atmosphere, the game is reminiscent of Ghouls' n' Ghosts, but with less platforming, crossbred with Nightmare before Christmas (the animated film by Tim Burton). Those who know the music of Danny Elfman - Burton's muse - will also recognize on the MediEvil CD, through a somewhat crazy or somewhat sad melody, the influence that this exceptional composer had on the game creators.

    While sound quality is important, graphically MediEvil also proves to be up to par. The 3D universe in which you find yourself is impressively rich, and the fluidity of your movements complements the different camera angles, which always accompany the action with a certain artistic sense. MediEvil is a non-linear game that allows you to wander around every nook and cranny of each level. You wander, fight, discover... Your walk leads you to face dangers, of course, but it provides a certain pleasure and is interesting. You collect different objects (like potions or keys), pick up new weapons, tread with your disembodied foot the grassy relief of virtual mounds... A real adventurer's life, you know.

    MediEvil in numbers

    The latest information about the game specifies that there would be 14 weapons (crossbow, dagger, axe, club...), potions with various effects, 55 different enemies, 7 end-of-level bosses and 13 minutes of video. All this across 30 levels. Not bad, and more likely to be improved. In the delusional genre, it would seem that it is even possible - this is just one example - to use the hero's arm as a weapon after it has been cut off. A Mister Bones that would leave no remains. In short, we are impatiently waiting to be able to share the adventures of Sir Daniel next summer, when the weather will be nice and warm, after these long winter months...

    See also

    Navigation